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Arbitre

Il existe 4 niveaux de formation :

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Inscriptions

Contactez Jean-Pierre Follet, membre de la commission d’arbitrage : follet.jp@scarlet.be.

2. Arbitre ajoint

Vous effectuez un stage sous la conduite d’un arbitre national ou international.


Vous arbitrez un nombre suffisant de régates en Fédération Wallonie –Bruxelles et en Flandre.


Après un avis positif de la commission fédérale des juges arbitres, vous passez votre examen d’arbitre. Les épreuves sont écrites, orales et pratiques.

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3. Arbitre national

Vous arbitrez sans problème aussi bien en Fédération Wallonie -Bruxelles qu’en Flandre mais suivrez quand même les séances d’information et de mise à niveau.


Si le cœur vous en dit, vous pouvez devenir arbitre international après une période de trois ans.

 

Vous pouvez déjà, en qualité de candidat arbitre FISA, vous rendre à l’étranger dans le cadre de programmes d’échange entre fédérations afin d’acquérir de l’expérience et vous préparer à l’examen d’arbitre international.


Si vous souhaitez devenir international, commencez dès à présent à réviser votre anglais car c’est la langue véhiculaire à ce niveau. On ne demande pas un niveau élevé mais il faut que vous puissiez comprendre les instructions et que vous puissiez vous faire comprendre.


Vous passez un examen (plus que probablement à l’étranger), en français ou en anglais, écrit et oral, avec une épreuve pratique.

4. Arbitre international

Votre licence d’arbitre international est valable quatre ans. Vous pouvez arbitrer les coupes du monde, les championnats d’Europe, les Championnats du monde (juniors et puis seniors) et, pourquoi pas, les jeux olympiques, mais n’espérez pas aller directement aux jeux. On suit une progression dans le niveau de compétition. Il faut un certain nombre d’années pour aller aux championnats du monde seniors.


Comme il n’est pas possible d’avoir tous les ans une désignation pour aller aux régates FISA (coupe du monde, championnats, etc.), il existe un programme d’échange entre différentes fédérations européennes et celle des Etats–Unis qui permet selon vos disponibilités, d’aller arbitrer une ou plusieurs régates par an à l’étranger. C’est intéressant, car cela permet d’acquérir de l’expérience mais aussi de créer des liens d’amitié et de connaître un certain nombre de collègues étrangers, avec pour conséquence qu’il y a de fortes probabilités qu’on connaisse déjà une partie du jury lorsqu’on arbitre une régate FISA, ce qui facilite la cohésion du jury et l’efficacité.


Pour garder sa licence, il faut suivre durant la période de validité de la licence un séminaire organisé par la FISA. Lorsqu’on a suivi un séminaire, la licence est reconduite pour une période de quatre ans.


Il y au moins un séminaire par an par continent.

1. Candidat arbitre

Vous recevrez une brève initiation en régate et passerez un test écrit afin de vérifier si vous possédez les connaissances de base du code des courses.

 

A ce stade, on ne demande pas une connaissance approfondie du code des courses.


Pour vous aider, la Ligue Francophone d’Aviron organise des séances d’introduction à l’arbitrage avec une explication du code des courses et des principales règles.


Si vous réussissez le test, vous devenez arbitre–adjoint.

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  • Quand je vois toujours les mêmes arbitres aux régates, je me dis que je n’ai pas le temps d’effectuer autant de prestation. Cela vaut-il la peine que je devienne arbitre ?"
    Bien sûr ! Si ce sont toujours les mêmes arbitres qu’on voit, c’est parce qu’il n’y a pas assez d’arbitres et qu’ils sont obligés de venir, sinon il n’y aurait pas de régates, mais ils aimeraient parfois faire autre chose. S’il y avait plus d’arbitres, ils devraient effectuer moins de prestations. Alors, tout nouvel arbitre est le bienvenu. Vous choisissez le nombre de régates que vous souhaitez arbitrer et il n’est pas nécessaire de participer à toutes les régates. On demande quand même d’arbitrer un certain nombre de régates. Si un club croit faire le malin en présentant un arbitre, afin de pouvoir recevoir des subventions, et que cet arbitre, une fois sa licence obtenue, n’arbitre aucune régate dans l’année, il perdra sa licence, sauf s’il a de sérieuses circonstances atténuantes à faire valoir.
  • Qui peut être arbitre ?
    Les rameurs, les anciens rameurs mais aussi toute personne qui n’a pas ramé mais qui a de l’intérêt pour notre sport. Les parents de rameur, par exemple, viennent souvent aux régates et passent leur journée au bord de l’eau. Ils pourraient parfaitement arbitrer. C’est le cas de plusieurs arbitres actuellement, qui sont devenus arbitres parce qu’ils suivaient leurs enfants et continuent à arbitrer, même si leurs enfants ne rament plus.
  • Je ne souhaite pas être arbitre mais suis disposé à apporter ma collaboration. Est-ce possible ?
    Oui. Il n’est pas nécessaire d’être arbitre pour exécuter toutes les tâches. Si vous voulez, vous pouvez vous limiter à être chronométreur ou aligneur et acquérir une sérieuse expertise dans ce domaine, mais il est clair que dans ce cas-là, vous ne pourrez pas être considéré comme arbitre entrant en ligne de compte pour l’octroi d’une subvention.
  • Si j’arbitre, puis-je encore ramer en compétition ?"
    Cela ne pose aucun problème. Vous choisissez dans le calendrier des régates celles que vous souhaitez arbitrer et celles auxquelles vous souhaitez participer en tant que rameur. Néanmoins, il n’est pas possible d’être à la fois rameur et arbitre dans une même régate.
  • Je ne parle pas le néerlandais. Est-ce un problème ?
    Pas vraiment, même si cela va mieux en le parlant. Il faut quand même connaitre quelques mots spécifiques à l’aviron. Un lexique a été établi et les autres arbitres peuvent toujours aider.
  • Suis-je rémunéré en tant qu’arbitre ?
    Oui, mais faiblement. On ne fait pas cela pour l’argent. Disons que le club organisateur d’une régate verse à chaque membre du jury une indemnité de 10 € par jour et une indemnité kilométrique à condition que l’arbitre soit venu avec son propre moyen de transport, car bien des arbitres font du covoiturage afin de limiter les frais pour le club organisateur. La plupart du temps un repas est également offert au jury.
  • Quelle tenue et quel matériel dois-je avoir ?
    La tenue d’arbitre est constituée d’une veste bleue, une chemise ou un polo bleu ciel, un pantalon gris (pour les femmes, la jupe est admise) et le cas échéant d’une cravate de la fédération. Comme matériel il est recommandé d’avoir un chrono, un sifflet et des drapeaux (un rouge et un blanc). La Ligue Francophone a des mégaphones qu’elle met à disposition des arbitres.

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